Une nouvelle centenaire (France)

Le 12 juin, toutes les sœurs de l’Epiardière étaient heureuses de fêter une nouvelle centenaire, sœur Louis Marie Rousseau. C’est la troisième dans notre communauté. Nous y sommes allées de notre petite chanson.

Chanson pour Louis Marie (air : ave Maris Stella)

Pour voir des centenaires, venez à l’Epiardière

Ce n’est pas la première, ce n’sera pas la dernière

Cent ans c’est encore jeune pour Louis-Marie Rousseau

Bon oeil et regard clair, ses cheveux blancs si beaux

Elle a de beaux yeux bleus, de la couleur des cieux

Mais quand le ciel est gris, encore elle sourit

Même si les oreilles font quelques fois défaut

Elle reste en éveil quand on parle plus haut

C’est une chauchéenne née tout près de chez nous

Mais avec le Seigneur, il faut suivre partout

Elle s’appelle Marie-Rose, la rose va s’épanouir

En faisant comme Marie dans une vie donnée

C’est à l’Union Chrétienne qu’elle devient religieuse

Ne s’est pas ménagée dans sa mission d’santé

Infirmière en clinique, a beaucoup travaillé

Au bloc anesthésie pendant trente-deux années

Bien des jeunes soignantes par elle furent formées

Personnel médical s’est senti épaulé

A la Sainte Famille est en communauté

Lorsqu’en 2012, ailleurs est appelée

De retour près d’chez vous, vous êtes bien chez nous

Notre affection pour vous vaut bien une chanson

Pour finir (sur l’air de « Vive le vent »)

Vive not’cent, vive not’cent, vive not’centenaire

Ce n’est pas la première, ce n’est pas la dernière,

Woh !

Vive not’cent, vive not’cent, vive not’centenaire

Tous nos voeux Louis-Marie ! Merci d’être avec nous

Et la fête a recommencé le jeudi suivant avec sa nombreuse famille. Les guirlandes et ballons colorés égayaient le parc. Que de joie et d’action de grâce. Nous avons pu aussi prier aux intentions de sa grande famille.

Le Sacré-Coeur de Jésus selon le Père Monnereau (France)

« Il nous a aimés le premier […] Aimons Dieu car il nous a aimés le premier ». Voici les mots donnés par le Père Monnereau et qui débutent les premières constitutions données aux Sœurs en 1844.

La dévotion de Pierre Monnereau pour le Cœur de Jésus trouve sa source dans la lecture des Pères de l’Eglise et du mouvement spirituel issu de Paray-le-Monial, qui s’est étendu largement au début du XIXe siècle. Puisant en Dieu, la source de son action, le Cœur de Jésus est pour lui le lieu où se révèlent l’amour et la tendresse de Dieu pour les hommes.

En ce jour de la Solennité du Sacré-Cœur, redécouvrons à travers un sermon du Père Monnereau le véritable sens du Sacré-Cœur de Jésus.

“          Qu’est-ce que c’est le Sacré-Cœur de Jésus dont nous célébrons aujourd’hui la fête ? Le divin Cœur de Jésus est la partie la plus sainte et la plus noble de toute la sainte Humanité de Jésus-Christ, notre divin Sauveur.

Ce Cœur qui est le vrai temple, le vrai sanctuaire, le vrai trône de la divinité, et ou la divinité habite réellement, véritablement, essentiellement, substantiellement, corporellement. Ce Cœur qui est le trône de la Sagesse éternelle, le Verbe divin, le Fils de Dieu.

Ce Cœur qui nous dit qu’il fait ses délices d’être avec nous ; ce Cœur qui nous assure qu’il fera un pacte éternel de ne jamais cesser de nous faire du bien ; ce Cœur qui se réjouit avec transport lorsqu’il nous a comblés de toutes sortes de bien ; ce Cœur qui nous attire à lui par les liens d’Adam, c’est-à-dire par des liens de douceurs, de charmes et d’attraits ; ce Cœur qui fait découler sur nous comme autrefois sur Jérusalem des fleuves de paix, des torrents de douceurs, de grâces et de bénédictions ; ce Cœur qui nous flatte et qui nous chérit, comme la plus tendre et la plus affectueuse de toutes les mères flatte et chérit son enfant.

Ce Cœur qui nous crie : Venez à moi, ô vous qui êtes fatiguées et je vous soulagerai, et vos âmes trouveront le repos.

Entrons, entrons par la plaie sacrée de ce divin Cœur, entrons dans ce beau et magnifique palais de la charité et de l’amour-divin ; considérons-en toute la splendeur, toute la beauté, toute la richesse, toutes les grandeurs, toutes les perfections.

C’est cette bonté, c’est cette tendresse, c’est cette charité, cette clémence, cette bénignité, cette miséricorde sans bornes qui le porta autrefois à descendre des cieux pour nous et à naître pour nous dans la pauvreté, à passer sa vie mortelle dans les travaux, les peines et les sueurs, à courir après la brebis égarée d’Israël, à la rapporter sur ses épaules, à recevoir avec bonté la pécheresse, à guérir le pauvre blessé à mort sur le chemin de Jéricho, à justifier le publicain, à prendre la défense de la pécheresse, à réconcilier avec lui l’enfant prodigue, à remettre au bon larron ses fautes, à nourrir ceux qui mourraient de faim, à rendre la vue aux aveugles, l’ouïe aux sourds, la parole aux muets, à chasser les démons, à faire du bien à toutes sortes de personnes.

C’est cette tendresse et cet amour de son divin Cœur qui l’a porté à verser son sang pour notre salut, pour notre bonheur. C’est cette tendresse et cet amour qui l’a porté à instituer la sainte Eucharistie et comme sacrifice et comme sacrement.”

Sermon du P. Monnereau n°249

Thomas Aubin, archiviste de la Congrégation

Visite de l’église de Montaigu (France)

Mercredi 31 mai dernier, six sœurs de la Maison mère accompagnées de Mme Thomas ont répondu à l’invitation des bénévoles de l’hospitalité vendéenne du doyenné de Montaigu à visiter l’église Saint Jean-Baptiste de Montaigu, en présence du père Alexandre Guillaud.

En arrivant, nous nous sommes retrouvées avec le père Alexandre, les bénévoles et des résidents de l’ÉHPAD de Montaigu, pour prier le chapelet devant une statue de la Vierge Marie, fraîchement repeinte et toute belle.

L’église Saint Jean-Baptiste, restaurée après 5 années de travaux, est lumineuse. Nous avons admiré les décors peints sur les croisées d’ogives, les bancs de l’allée centrale et de la nef, la chaire ; l’autel, les boiseries du chœur, le dallage en granit, les vitraux, le baptistère, rafraîchi et déplacé. Parmi les modifications, l’une est importante, il s’agit du réaménagement de l’entrée de l’église avec la pose d’une tribune accueillant l’orgue, situé dans le chœur avant les travaux.

L’équipe de l’Hospitalité vendéenne, qui nous avait cordialement invitées, nous a offert boissons et brioche. Un goûter très apprécié et convivial.

Heureuses de ce bon moment, émerveillées de la beauté du site, du travail des artisans, de l’accueil de tous les participants, nous sommes reparties, remerciant le Seigneur du travail humain et des merveilles de la création.

Sœurs Anne-Marie Pogu et Mélanie Bonenfant, de la Maison mère

Portes ouvertes à la Maison Générale (France)

Quelle joie de se retrouver au 16 Place François Mitterand, c’est à dire la maison du Conseil Général !

A l’invitation des soeurs du Conseil, samedi et dimanche, des soeurs des Sacrés Coeurs sont venues découvrir ou redécouvrir ces lieux de travail et de vie de la Supérieure Générale et de son Conseil.

Les souvenirs des premières occupantes du Foyer Bernadette et le rappel des conseils de « Mère Hélène » (Sr Alice Alland) ont été évoqués avec toutes. Des nouvelles ont été échangées… Après la période COVID, un rassemblement convivial était le bienvenu.

Une visite sur les trois étages, un goûter et la prière commune des Vêpres en la veille ou la Solennité de la Pentecôte ont achevé « la belle visite » !

La joie était vraiment au rendez-vous. A renouveler !

Les soeurs du Conseil Général

Notre Dame en fête (Madagascar)

Samedi 27 mai, toute la communauté éducative de Notre Dame à Mahajanga est heureuse de se préparer au grand rassemblement festif de l’année pour les élèves. Il n’y a pas eu d’édition depuis 2019 pour une raison bien connue.

Les enseignants cuisinent pour la vente du goûter, les derniers essais de sono sont réalisés, espérant que l’électricité demeure toute la soirée… (Ce fut le cas !).

À 14h, la foule des familles est là, sous les arbres, autour du podium bien décoré par le personnel.

Notre Dame en fête, c’est l’occasion de voir une danse répétée par chacune des classes de maternelle et de primaire. Les collégiens et lycéens volontaires se retrouvent en groupe pour proposer, souvent, un remix des chansons à la mode. Aussi, ce fut pour moi une écoute d’une panoplie de chants et musiques traditionnels et modernes.

Chaleureuses ambiance et animation.

Dans une organisation millimétrée, après l’introduction de Sr Carole, directrice de Notre Dame et de Sainte Marie, des hymnes des deux établissements, ce sont 49 numéros qui se sont enchaînés pendant 5h ! Toute une après-midi à découvrir les beaux costumes et belles coiffures des petits et grands qui ont donné le meilleur d’eux-mêmes pour la joie de tous. A 19h, petite danse pour tous animée par les responsables. Ça fait du bien de bouger un peu au rythme malgache !

Cette représentation ayant pour but de récolter des fonds pour l’établissement et les enseignants est un temps fort que je suis ravie d’avoir vécu lors de mon séjour à Madagascar.

Misaotra ! Merci à tous.

Sr Isabelle 

Le mois de Marie expliqué par le père Monnereau (France)

Le mois de Marie expliqué par le Père Monnereau

Le Père Monnereau eut tout au long de sa vie une grande dévotion pour la Sainte Vierge, qu’il ne cessa de partager avec ceux qu’il rencontrait.

Dès les premières années dans sa paroisse des Brouzils, il y établit le beau mois de Marie en parcourant les différentes chapelles pour y faire lui-même les saints exercices et donner de l’émulation à son peuple, afin d’ancrer durablement le Saint Mois de Marie dans sa chère paroisse.

Le Père Monnereau nous a laissé quelques sermons du mois de Marie sur la Sainte Vierge, qu’il a prêchés plusieurs fois à l’ouverture et à la clôture du mois de mai.

En ce dernier jour de mai, voici l’occasion de redécouvrir à travers un sermon du Père Monnereau, sa piété envers Marie.

Thomas Aubin, archiviste de la Congrégation

Ave Maria gratia plena &…

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L’année dernière, je me le rappelle encore, nous vous disions que l’intention de l’Eglise, en établissant la belle dévotion du mois de Marie, était de nous porter à honorer tous ses mystères, toutes ses vertus, toutes ses belles qualités, toutes ses perfections, toutes ses amabilités qui ont brillé en elle, dès sa conception, dès sa naissance et dans toutes les autres circonstances de sa vie, mais savez-vous ou découvrir la bonne manière de l’honorer, de lui plaire et d’en être aimé ? les voici : c’est 1°- de la vénérer comme la plus sainte et la plus parfaite de toutes les créatures; 2° c’est de l’aimer comme la plus tendre de toutes les mères; 3° c’est de l’imiter, comme le plus parfait modèle que le ciel nous présente après Jésus-Christ, son divin Fils. 

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1°-Nous devons vénérer Marie, comme la plus parfaite de toutes les créatures qui soient sorties des mains de Dieu, le chef-d’œuvre de sa bonté et de sa libéralité, après la sainte humanité de son Fils. La vénération est un acte religieux qui doit être proportionné à la sainteté, aux qualités et aux perfections des créatures qui en sont l’objet; il s’ensuit de là que le respect et la vénération que nous devons avoir pour Marie doit l’emporter sur toute autre vénération après Dieu, parce que Marie, comme nous venons de le dire, est le chef-d’oeuvre de la bonté et de la grande libéralité de Dieu, la plus sainte et la plus parfaite de toutes ses créatures, plus sainte elle seule et plus parfaite que tous les justes, que tous les patriarches, que tous les prophètes, que tous les apôtres, que tous les martyrs, que tous les saints, que tous les anges, que tous les esprits célestes, que tous les séraphins, que toutes les sublimes intelligences. 

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Nous devons honorer tous les saints, nous devons honorer tous les anges, nous devons honorer toutes les sublimes intelligences et cela par gradation, selon leur degré de sainteté, selon le degré de leur perfection ; ainsi plus les saints, plus les anges, plus les sublimes intelligences approchent de Dieu et touchent Dieu, plus ils ont le droit à l’étendue de nos hommages, de nos vénérations et de nos respects. Or, il n’est point de saints, comme il n’est point d’anges et de sublimes intelligences qui approchent aussi près de Dieu et qui aient de la sainteté de Dieu que Marie ; donc nous lui devons un respect et une vénération au dessus de tous, et c’est ce qu’on appelle le culte d’hyperdulie. 

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2°-Nous devons aimer Marie, après Dieu, plus que toutes les autres créatures ; pourquoi cela ? C’est parce qu’elle a plus de droits à notre amour que toutes les autres créatures. Nous devons aimer toutes les créatures raisonnables, parce qu’elles sont les ouvrages de Dieu. Nous devons aimer les anges et les saints, parce que ce sont les amis et les serviteurs et les enfants de Dieu et parce Dieu le veut ainsi et qu’ils ont des droits à notre amour, par les services importants qu’ils nous rendent, qu’ils sont nos bienfaiteurs, mais Marie a infiniment plus de droits à notre amour. Nous devons aimer nos parents, nos amis, nos protecteurs, nos bienfaiteurs plus ou moins, selon le degré de parenté, le degré de protection, le degré de bienfaisance qu’ils nous procurent. Vous concevrez que nous devons aimer davantage les saints qui sont déjà arrivés à la gloire que les justes qui sont sur la terre; vous concevrez que nous devons davantage aimer nos pères et nos mères que toute autre personne, que nous devons davantage aimer nos bienfaiteurs, nos protecteurs, nos amis que des personnes de qui nous n’avons reçu aucun bienfait, que nous devons davantage aimer nos bienfaiteurs spirituels que les temporels. 

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Or, si cela est, vous concevrez que l’amour que nous devons avoir pour Marie, doit l’emporter à tous égards sur tous les autres amours. Car Marie est notre Mère et la plus tendre de toutes les Mères, elle est notre Reine et la plus puissante de toutes les reines, elle est notre Bienfaitrice et la plus grande et la plus généreuse de toutes les bienfaitrices. C’est elle qui nous a donné le Sauveur. Sa sainte humanité, qui a supporté toutes les peines que nous avions méritée, a été formée du sang le plus pur de Marie, par l’opération du St Esprit. Elle doit être aimée au-dessus de toutes les créatures et de préférence à toutes les créatures. Mais comment lui prouverons-nous et quelles preuves lui donnerons-nous de notre amour ? Ce sera en l’imitant, comme étant notre modèle et le plus parfait modèle que Dieu nous ait donné, après Jésus-Christ, son Fils. Car, comme dit St Augustin, la véritable dévotion est d’imiter et de retracer en nous les vertus que nous honorons. Nous honorons en Marie sa piété et son grand amour qu’elle avait et qu’elle a encore envers Dieu et Jésus-Christ son Fils. Eh bien, notre premier devoir est d’imiter cette piété de Marie, ce tendre amour de Marie.”

Sermon du P. Monnereau n°400  

Rencontre fraternelle des Soeurs de 2 Conseils Généraux (France)

Le 21 mai dernier, Sr Martine, Sr Marie Esther et moi-même prenions les chemins verdoyants du bocage vendéen pour rejoindre Chavagnes-en-Paillers.

En effet, Sr Martine avait proposé que nous vivions un temps de visitation chez les soeurs Ursulines de Jésus quand leur Conseil serait réuni en France.

Ainsi, arrivées pour la messe, nous avons vécu une très belle rencontre.

Les soeurs nous ont fait visiter leur grande maison à l’intérieur de laquelle, se trouvent deux communautés de soeurs ainées, une résidence autonomie à la place de l’ancien centre spirituel et les espaces de vie et de travail quand les soeurs du Conseil Général sont réunies à Chavagnes pour leur session de printemps.

Joie de découvrir les soeurs :

Le Chapitre Général des Ursulines de Jésus en juin 2022 , avait élu : Sœur Cécilia ROGEL, chilienne, supérieure générale, ainsi que ses 4 conseillères : Sœur Lucienne DUBRAY, Française; Sœur Maria Angel MARCO, Espagnole; Sœur Marie-Jeannette RAZAFISOA, Malgache; Sœur Carine TCHEWA, Camerounaise.

La maison généralice est établie au 65, rue Notre Dame des Champs 75006 PARIS.


Nous avons eu de plaisir de visiter leur chapelle et de prier près du tombeau du Père Baudouin et de partager le repas ensemble.

Un très bon moment pour apprendre à se connaître et découvrir d’autres façons de gouverner. En effet, Sr Carine et Srs Marie-Jeannette sont déléguées pour la France-Italie.

Nous aurons le plaisir de les accueillir prochainement chez nous.

Sr Anne pour le Conseil général

 

Exposition de photos à la Maison-mère (France)

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Le cloitre de la Maison mère a été lieu d’exposition de photos de Jean Noël Pineau, associé de la congrégation, du 27 avril au 10 mai dernier. Les sœurs ont profité pleinement de cette exposition ainsi que les enfants de l’école St Louis.

Quelques témoignages tirés du livre d’or de Jean Noel.

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Merci pour ces photos magnifiques. Elles attirent notre regard vers la bonté du Créateur. Merci de nous partager la passion avec autant de simplicité et d’enthousiasme.   Sr Martine

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Quel talent ! et quelle connaissance ! en ce temps de ‘Laudato Si’ c’est aussi un travail merveilleux qui m’appelle à contempler encore plus la création ! tu nous apprends à regarder, à voir, à contempler et quel repos pour le cœur. Sr Eliane

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Merci à Jean-Noël de nous faire découvrir et partager par la photo, les merveilles de la Création. Sr Mélanie

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Le chant qui me vient est : « Merveille, Merveille que fit pour nous le Seigneur » et que Jean-Noël me permet de chanter ! Sr Madeleine

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Merci, Jean-Noël de nous partager tes talents. A travers la beauté de la nature, des oiseaux et animaux divers qui y trouvent leur domaine. Nous louons le Créateur et nous sommes témoins de son œuvre en toi. Chemin de vie et de bonheur qui est le tien et que nous sommes heureuses de connaître et de partager. Sr Marie-Paule Leboeuf

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Il y a de la beauté partout dans le monde, sur terre, en mer et dans l’air… Merci de vos photos qui élèvent nos yeux vers le ciel où les oiseaux, nombreux ici, nous comblent de leurs envols et de leurs chants ! Sr Marie Griffon

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Comment ne pas rendre grâce pour la beauté de la création, merci pour les sœurs. Ce don que vous avez reçu, continuez à le faire grandir. Bravo ! Vos photos sont magnifiques et merci pour votre gentillesse. A quand la prochaine exposition ? Sandrine Thomas, assistante de communauté

Visite de Sr Sarah à la Maison mère (France)

Un témoignage poignant, touchant de sœur Sarah venu en France pour témoigner de son quotidien auprès des chiffonniers du Caire. Merci à sœur Sarah et à ses 2 accompagnateurs pour leur présence et témoignage auprès des sœurs.

Témoignage recueilli de sr Agnès Griffon, de la Maison mère.

Qui n’a pas entendu parler de Sœur Emmanuelle et de ses chiffonniers du Caire ? Aussi, quel plaisir, ce samedi 6 mai, d’avoir à la Maison-mère la visite de celle qui lui a succédée : Sœur Sarah, une religieuse Egyptienne, Copte Orthodoxe de la congrégation des Filles de Marie.

Après un petit film montrant le beau travail d’éducation de Sr Emmanuelle et de ceux et celles qui le continuent, c’est l’échange des questions avec Sr Sarah et ses deux accompagnateurs, deux membres de l’Association Orange qui leur vient en aide financièrement.

Nous apprenons ainsi que le jour où Sr Emmanuelle s’autorise à venir dans sa communauté demander de l’aide, Sr Sarah, la responsable, décide d’aller avec quatre sœurs, se rendre compte sur place de la situation.

Hélas ! L’incroyable misère des taudis, où pullulent les rats, les rebutent. Seule, Sr Sarah décide de rester vivre avec et comme Sr Emmanuelle.

Ces deux femmes, animées d’un même oubli de soi, d’un même amour pour leurs frères et sœurs déshérités, d’une même volonté de leur redonner toute leur dignité vont changer leur mentalité et accomplir des merveilles.

Désormais, les chiffonniers, ces parias de l’Egypte, sont arrivés à se prendre en charge eux-même dans le domaine de l’enseignement, de la santé et du social.

Leurs établissements scolaires, leurs dispensaires, leurs hôpitaux, leurs maternités font des envieux !

Merci Sr Sarah ! Vous nous avez montré qu’une vie remplie d’amour et mise au service du prochain peut transporter des montagnes.

Sr Agnès Griffon

Reportage au Congo : projet d’un nouvel hôpital

C’est un projet qui n’est pas d’aujourd’hui mais qui prend une nouvelle mesure à Brazzaville auprès de la population des quartiers MADIBOU et KIMPOUOMO.

En effet, c’est depuis un certain temps que les consacrés du Diocèse réfléchissent aux besoins de construire un hôpital géré par les congrégations afin de permettre un accès aux soins à tous.

Une conférence et une messe et une bénédiction  se sont déroulées sur le terrain envisagé pour la future construction.

Voici ci-dessous un reportage de l’archidiocèse de Brazzaville où notre soeur Edith Mavouala apporte sa parole dans les premières minutes du reportage.

Réactions des Populations de MADIBOU KIMPOUOMO sur le projet du nouvel hôpital des Consacrés – YouTube

Sr Anne V., économe générale