Ça s’est passé le 13 février 1972 : « Sortez vite le clocher va s’effondrer !» (France)

Le 16 février 1972, le journal Ouest-France titrait “La mort d’un clocher, il a fallu abattre celui de la chapelle des Sœurs des Sacrés-Cœurs de Mormaison”.

Construite entre 1861 et 1862, la chapelle de la Maison mère approchait de ses cent-dix ans, quand la tempête vint ébranler son clocher. C’est à l’heure de l’homélie, le dimanche 13 février, que la porte de la chapelle s’ouvrit avec fracas pour annoncer aux Sœurs “Sortez vite…le clocher va tomber”. Dans le calme l’assistance évacua l’édifice.

Une fois la tempête passée, c’est l’heure du bilan, le clocher est condamné, il est trop dangereux et risque de s’effondrer, de grandes lézardes se sont formées sur ses murs. Dans la soirée à la lueur des projecteurs, le clocher est ceinturé d’un câble de 300 kg l’empêchant dès à présent de tomber. Le lendemain à 14 h 23, sonne le glas du clocher, en un bref craquement la base du clocher se disloque et tombe au pied de la chapelle, sous les yeux déconcertés des Sœurs et habitants de Mormaison.

Rapidement après, la décision sera prise par les Sœurs de faire reconstruire un petit clocher capable de recevoir à nouveau les deux cloches de 1864 tombées dans l’effondrement, conférant à la chapelle de la Maison mère l’aspect actuel qu’on lui connaît.

Thomas Aubin, archiviste de la Congrégation

Le Carême vécu au groupe scolaire Notre Dame de Majunga (Madagascar)

L’école Notre-Dame aussi organise des recollections pour ses élèves chaque Carême.  Cette année, les élèves de 6ème  et 3ème ont commencé la prière à  Amborovy. Ils étaient 502 en tout. D’abord, il y a eu les conférences dans 3 endroits différents.  Après la pause, ils ont participé à la messe et en même temps à la réception des Cendres. Le mercredi d’après, c’était les 5ème et les 4ème au rendez-vous. Et ainsi de suite jusqu’à la terminale.
Le thème déployé est toujours la parole du Pape François pour le Carême, texte de cette année.
C’était un moment favorable pour ces jeunes qui sont un peu perdus avec les soucis de la vie chère et des problèmes familiaux.  On voit sur leurs visages les sourires et la joie. Pour un voyage, on a eu à utiliser 18 bus Sprinter. Cela vaut la peine pour la croissance humaine et spirituelle des élèves. C’est aussi une petite ressource pour ces chauffeurs et en même temps pour le petit commerce des Soeurs à Amborovy.
Sr Carole, directrice à Notre Dame

Au revoir M. Mahot (France)

Directeur de l’EHPAD Maison Esther Blé des Brouzils-Mormaison et de la Résidence autonomie l’Issoire depuis 2016, Monsieur Mahot vient de terminer ses fonctions ce 23 février pour poursuivre sa carrière professionnelle dans un autre établissement. Plusieurs temps d’au-revoir ont permis aux sœurs et aux salariés des trois sites (Brouzils, Epiardière, Maison Mère) de le remercier et de lui souhaiter une bonne suite dans ses projets.

Les sœurs du PASA (pôle d’Activités et de Soins Adaptés) aux Brouzils ont été heureuses de confectionner un joli « cadre souvenir » fait d’oiseaux et autres pliages en origami ainsi que des messages personnalisés.

C’était aussi l’occasion de rappeler les divers chantiers qu’il a conduits pendant ces 8 années : les travaux sur les trois sites qui ont commencé dès son arrivée en poste, l’agrandissement de la cuisine des Brouzils, la fermeture de l’EHPAD à la Maison Mère et donc le transfert de sœurs et de salariés vers les Brouzils, l’ouverture de la résidence autonomie Issoire à Mormaison synonyme d’accueil de laïcs résidents… sans oublier le COVID avec son lot de contraintes pour les EHPAD. Tout un programme !

De son côté, Monsieur Mahot a adressé un chaleureux merci à la congrégation pour la confiance qui lui a été faite, pour la bienveillance et l’attention des sœurs. Il a également souligné l’investissement des salariés, les valeurs humaines et l’exigence qui est peut-être l’héritage des sœurs. Arrivé dans la congrégation comme en terre inconnue, il a vécu des années riches et passionnantes, découvrant que l’EHPAD est avant tout une communauté, le lieu de vie des sœurs avec son organisation et ses moments festifs, particulièrement appréciés. S’il part avec un petit pincement au cœur, il est aussi heureux d’ouvrir une nouvelle page où il poursuivra son travail selon les mêmes valeurs qui l’animent : « Cultiver la Vie, cultiver le lien social ». Cela consonne bien avec notre vocation de sœurs des Sacrés Coeurs.

Merci Monsieur MAHOT.  Bon vent pour l’avenir !

Sr Anne-Lise Jamin

Soirée chants et contes, avec le groupe « Les cousines » (France)

Le 30 janvier 2024, à la Maison Mère de Mormaison et à l’initiative de Bernadette Gindreau, quatre de ses nièces nous ont offert un bel après-midi récréatif. Bernadette la saxophoniste soutenait avec brio les chanteuses : Mado, Geneviève et Marie – Christine, auxquelles s’est ajoutée  Sœur Bernadette pour le chant  « Que tes œuvres sont belles ! ». Le programme était varié et de qualité !

La prestation chantante a été entrecoupée de trois contes présentés par Marie-Christine, la conteuse du groupe. Elle nous a emmenées dans le désert avec le retour des trois mages, sur la trace de leur étoile perdue et au Pérou avec les Incas à la découverte de leur dieu créateur.

Les paroles des chants projetées sur le mur nous ont donné la joie de chanter avec le groupe. L’un des deux conjoints accompagnateurs assurait la technique.

Un bon moment de convivialité, d’échange, de joie qui s’est clôturé par le partage de la brioche et du jus de pomme.

Merci Bernadette et merci à tes neveux !

Sr Marie-Thérèse Cant et sr Marie-Thérèse Dupé

Un cocktail de chants variés et colorés a été proposé à la Maison mère, pour la plus grande joie des sœurs, le temps d’un après-midi d’hiver. De grands mercis à la famille de sr Bernadette Gindreau ; où ses quatre nièces ont mis leurs talents au service de la communauté. Elles avaient préparé un programme riche de chants entraînants, le tout accompagné par une saxophoniste. Magnifique ! Chacune a pu reprendre les chants comme « Prendre un enfant par la main, d’Yves Duteil », « la tendresse », « La Montagne de Jean Ferrat », « Que tes œuvres sont belles », « Les couleurs du temps de Guy Béart «…et bien d’autres,  entrecoupés de contes merveilleusement racontés par une de ses nièces. Bravo !     

Paroles du Père Monnereau : sermon de Carême

Voici en ce temps de Carême l’occasion de redécouvrir un sermon prononcé par le Père Monnereau durant ces quarante jours de conversion intérieure, temps de préparation a la fête de Pâques.

« Il n’est point de moment dans la vie, qui ne soit propre à notre sanctification, et où nous ne puissions travailler avec succès à la grande et intéressante affaire de notre salut éternel. Cependant, nous pouvons le dire avec vérité, il y a des temps et des moments bien plus favorables les uns que les autres, et où les grâces et les moyens de salut sont plus abondants. Ce saint temps de Carême, où nous sommes entrés depuis quelques jours, est un de ces moments les plus heureux et les plus privilégiés, soit à raison de la sainteté des grands mystères dont il nous rappelle les souvenirs les plus propres à faire sur nos cœurs, les impressions les plus salutaires, soit à raison des prières plus ferventes, plus multipliées, des bonnes œuvres plus abondantes que pratiquent les enfants de l’Église, dans ce saint temps : prières, bonnes œuvres les plus propres à toucher le cœur de Dieu, et à faire descendre du ciel, non seulement sur les justes, mais sur les pécheurs mêmes, les bénédictions les plus abondantes.

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Je dis d’abord que le temps où nous sommes est un de ces temps les plus favorables, pour travailler avec succès à la grande et à l’importante affaire de notre salut, à raison de la sainteté des augustes mystères dont il nous rappelle le souvenir. Mais quels sont donc les glorieux mystères que nous rappelle le saint temps de Carême, les plus propres à faire sur nos cœurs, les plus salutaires impressions ? Le saint temps de Carême, nous rappelle premièrement la pénitence et le jeûne rigoureux des quarante jours et des quarante nuits que Jésus-Christ, notre divin Sauveur passa dans le désert sans boire et sans manger, sans prendre aucune nourriture et cela pour expier nos intempérances et nos excès dans l’usage de nos sens intérieurs et extérieurs et principalement en ce qui regarde la sensualité, la mollesse, l’impudicité, les excès dans l’usage des regards et de la parole. Ciel, que de discours inutiles, que de paroles extravagantes et criminelles ; ce qui a fait dire à Saint Jacques que celui qui ne pèche point par la langue est parfait, tandis que la langue, par son usage immodéré, est un monde d’iniquités, un feu qui dévore tout. Jésus-Christ les a expiés ces discours inconsidérés par son silence, par sa parole intérieure avec son Père.

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Le saint temps de Carême, nous rappelle tout ce que Jésus-Christ a fait et souffert pour nous, pour notre salut, pour opérer le grand et ineffable mystère de notre rédemption. Il nous rappelle toutes les humiliations, tous les opprobres, toutes les persécutions, les supplices et les tourments de la passion et de la mort de ce Dieu Sauveur, puisque c’est dans les derniers jours de cette sainte quarantaine qu’il les a endurés pour nous. Ah ! S’il n’est rien de plus agréable à Dieu, comme dit Saint Bonaventure, que la pensée et le souvenir des souffrances de son divin Fils, que serait-ce donc que la méditation continuelle de ces divins mystères ? Le temps de carême est un temps favorable à la sanctification de notre âme, un temps favorable à la réconciliation des pécheurs pénitents.

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Il l’est encore favorable aux justes et aux pécheurs à raison des prières plus ferventes, plus fréquentes et des bonnes œuvres que pratiquent les vrais enfants de l’Église et qui sont des plus propres à toucher le cœur de Dieu envers les pécheurs et cela en considération de la communion des saints : car il en est de l’Église et tous les membres qui la composent, ce qu’il en est d’une communauté ou tous les membres profitent des succès et des gains provenant de l’industrie ou du travail de quelques-uns des membres de cette même communauté. Plus donc il se fait de prières ferventes, plus il se pratique de bonnes œuvres dans l’Église, plus chacun de ses membres s’en trouve bien. Or comme il n’est point de temps dans l’année où il se fasse davantage de prières ferventes et de bonnes œuvres dans l’Église, il s’ensuit qu’il n’est point de temps plus propres aux justes d’avancer dans la vertu et aux pécheurs de rentrer en grâce avec Dieu et de se réconcilier.

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Que les justes raniment donc leur courage et que les pécheurs profitent bien des grands moyens de salut qui leur sont offerts, qu’ils rentrent sincèrement en eux-mêmes et qu’ils se convertissent sincèrement au Seigneur. »

Sermon du P. Monnereau n°683

Thomas Aubin , archiviste de la Congrégation

Rencontre d’associés avec les soeurs de la Maison Mère le samedi 27 janvier (France)

Notre groupe de vie d’associés à la congrégation, groupe de vie « Esther Blé »se retrouve à peu près tous les 2 mois. À tour de rôle, chacun des membres accueille chez lui. Le samedi 27/01/24, c’était Soeur Jacqueline qui nous accueillait à la maison mère. Les associés qui étaient disponibles dans l’après-midi, ont partagé un petit temps d’échange fraternel avec les sœurs…

Voici quelques-uns de leurs témoignages sur leur choix d’être associés et ce qu’ils vivent :

« C’est la simplicité des sœurs, leur proximité auprès des plus petits, des plus fragiles qui nous ont touchés…

« Dieu nous a aimés le premier » et il nous invite à être témoin de sa Tendresse, sa Miséricorde sans cesse offertes, auprès de tous …

Notre engagement nous permet d’approfondir la foi de notre baptême, de donner plus d’épaisseur à notre vie humaine, plus de sens à nos activités, nos engagements …

Notre engagement d’associé, un soutien humain et spirituel … »

« Nous avons fait l’expérience d’entrer dans une nouvelle famille, notre famille spirituelle…

À travers la prière d’offrande, nous sommes en communion les uns avec les autres, sœurs et associés et portons mutuellement nos intentions de prière … Dans notre groupe de vie, le partage se vit dans la confiance, la discrétion. Nous nous interpellons et nous soutenons les uns les autres… »

« En plus de l’assemblée annuelle des associés en octobre, des journées « formation », « récollections », temps forts de congrégation ; nous avons le souci de nous retrouver pour une journée « détente » une fois par an afin d’apprendre à mieux nous connaître …

Certains d’entre-nous participeront aussi à un we à Brive pour vivre un moment fraternel avec Nadia-Sophie …

Suite au départ des sœurs, nous gardons l’habitude de nous retrouver pour prier ensemble une fois par mois. Par exemple, du côté des Essarts, chacune accueille et prépare la prière à tour de rôle… »

« Nous sommes sensibles aux œuvres de la Congrégation qui, de tout temps, ont répondu à l’évolution des besoins des enfants, des jeunes, des adultes et spécialement les plus démunis …

Entre autres : engagement à l’antenne éducative, à la maison de retraite d’Aizenay … ou création d’ expo photos pour partager avec les sœurs la beauté de la création, et différents services rendus aux sœurs dans la joie mutuelle du don réciproque …

Après la rencontre avec Soeur Andréa à Paris, nous avons contribué à la création de l’association « Une pierre pour Madagascar ». Elle a permis la construction d’une cantine à FIANARANTSOA. Après les inondations, celle-ci va pouvoir être reconstruite grâce à de nouveaux fonds récoltés lors d’une messe le 04/02/24 à la Paroisse du St-Esprit, à Paris… »

Avec les sœurs, nous nous sentons tous responsables de faire vivre et connaître le charisme du Père Monnereau. Ce n’est pas toujours facile de partager ce qui nous fait vivre et d’interpeller de nouveaux cheminants. 4 personnes se préparent actuellement …

Le dimanche 28 janvier, nous avons vécu une journée de formation à Fontenay.

Grâce à Marie-Laurence Martineau, Angélique Massé, la cofondatrice de la congrégation, est devenue une amie très inspirante pour nous aujourd’hui. Elle nous interpelle à travers son humilité, son audace, son courage, sa persévérance, l’intelligence de son discernement, sa docilité à l’Esprit Saint, sa bonté …

Merci aux sœurs, à la Congrégation de nous avoir partagé ce trésor, ouvert ce chemin spirituel …

Le groupe de vie « Esther Blé »

Pour en savoir plus sur les associés : https://www.sacrescoeursmormaison.org/associes-a-la-congregation/

Accueil d’une nouvelle Congrégation à Mahajanga (Madagascar)

Il s’agit de la Congrégation des Sœurs de Saint Joseph d’Aoste. Elles ont envoyé un certain nombre de sœurs à Mahajanga pour diverses études : médecine, paramédical, informatique. Cette année, à l’appel d’un prêtre diocésain, recteur de l’école paramédicale Jean Paul II et en même temps premier responsable de l’Hôpital Jean Paul II et curé de la paroisse Sainte Mère Térésa dans l’enceinte de l’Hôpital, et bien sûr avec l’accord de l’évêque, elles ont répondu à l’appel. Une communauté de cinq sœurs est arrivée au mois de septembre. Leur accueil par le diocèse s’est vécu dernièrement.

Elles ont acquis une maison pour commencer. Les quatre sœurs sont étudiantes. La responsable reste à la maison pour les travaux communautaires et surtout l’accueil…

Nous leur souhaitons une bonne accoutumance à Mahajanga !

Le début du Carême au Centre Scolaire Angélica Massé Fe y Alegría (République Dominicaine)

Dans le centre éducatif Angélica Massé Fe y Alegría, nous avons commencé le temps du Carême avec la célébration de l’imposition des cendres : c’est notre façon de dire que nous voulons mettre Dieu au centre de nos vies.

En tant qu’éducation aux valeurs évangéliques, nous cherchons à faire exactement cela : mettre Dieu au centre de toutes nos actions avec l’accompagnement de la Pastorale de l’Église ; l’accompagnement du ministère pastoral de l’éducation.

Le signe des cendres sur nos fronts, comme nous l’a rappelé le prêtre au cours de son homélie, est notre façon de dire à Dieu : « Regarde-moi, je veux changer. Prends-moi en compte !

« Prends-moi en compte ». C’était donc pour nous tous le moyen d’accueillir le signe, de faire sur notre front le signe qui nous rappelle notre disposition à changer. Ce signe nous rappelle notre disposition, l’appel à l’humilité, à savoir que nous sommes poussière, faits par ses mains.

A la fin de l’Eucharistie, toutes les personnes présentes ont été invitées à l’entrée en Carême, qui a commencé par le signe des cendres et en inclinant la tête pour recevoir la bénédiction finale.

Car peut-être que ce jour-là, le mercredi des Cendres, nous avions quitté nos maisons sans recevoir forcément la bénédiction de notre père, de notre mère, ou d’une personne aînée… Ainsi, nous pouvons être une bénédiction, la porter à nos parents, à tout le monde ici à l’école et au-delà.

Tout cela est possible si Dieu est le centre de notre existence.

Texte original en espagnol disponible ici

Sœur Altagracia Ortiz Mena

Traduit avec DeepL.com

Distribution des prix à l’école Notre Dame de Mahajanga

Chaque fin de trimestre, l’école Notre-Dame rend mérite aux meilleurs élèves aux examens, les bons élèves à la dictée et à la meilleure décoration des classes.

Pour la décoration des salles, c’était le couple Cadieu qui est passé à l’école au mois d’octobre jusqu’au mois de décembre qui était le jury.

Les responsables des classes qui sont les plus méritants pour la décoration à Notre Dame.

Ils ont pu donner des notes selon la créativité des enfants et en même temps la propreté du travail.

Nous les remercions pour  leur dévouement.

De bons moments de partage, de joie, de convivialité en ce temps de Noël (France)

Les sœurs ont répondu à l’invitation de la commune, en participant au goûter des aînés. Cette année, à quelques pas de la Maison mère, l’après-midi festive s’est déroulée à la salle polyvalente de Mormaison. L’ambiance était joyeuse, conviviale. Pour l’animer, les organisateurs ont fait appel à une danseuse de cabaret qui a su créer une bonne ambiance. Dans le courant de la soirée, la chorale des 3 clochers qui regroupe Mormaison, St André Treize Voies et St Sulpice de Verdon ont pu dévoiler leur répertoire de chants. 4 sœurs de la Maison mère y participent toutes les semaines : sr Odette Cousinet, sr Anne-Marie Pogu, sr Marie Thérèse Dupé et sr Marie-Jo Leau qui ont déployé leur voix, leur talent lors de cette animation. Bravo à elles !

Et quelques jours après, 2 bénévoles de Challans, Elisabeth au chant et Jean Noel à la guitare sont venus le temps d’un après-midi joyeux. Tous ensemble, de très beaux chants de Noël ont été repris, à l’aide d’un diaporama que Jean Noel avait préparé minutieusement. Beau moment d’action de grâce et de convivialité.

Pour finir, la chorale des 3 clochers s’est invitée à la Maison mère des sœurs. Ils ont enchainé leur répertoire de chants pour la plus grande joie des sœurs. Pour ensuite faire place au partage de la galette des rois en ce mois de Janvier.

Toutes les sœurs de la Maison mère, Mme Thomas vous souhaitent une très belle année 2024.

Sandrine Thomas, Assistante de communauté, Maison mère